
Selon Alain Hubert, la première phase de construction s'est achevée avec une semaine d'avance sur le schéma initialement prévu, en dépit de conditions de travail difficiles.

Le pied à peine posé sur le sol Belge, l'explorateur pense déjà à la seconde étape qui consistera à préparer les équipements de gestion de l'énergie solaire et éolienne, et de traitement des eaux usées.
Ceux-ci feront de la station la première à ne pas émettre de dioxyde de carbone, responsable du réchauffement climatique.


Ceux-ci seront testés en Belgique avant d'être installés sur la station entre novembre prochain et mars 2009 à l'occasion d'une seconde expédition dans l'Antarctique. Les premières expériences scientifiques n'attendront pas la fin des travaux pour êtres menées.

En l'espace de quatre mois, de novembre 2007 à mars 2008, Alain Hubert et une équipe de spécialistes ont bravé le froid, les conditions de vie précaires et les tempêtes pour ériger le bâtiment de la station Princess Elisabeth Antarctica, qui se dresse désormais sur une crête granitique à Utsteinen, en Terre de la Reine Maud